Depuis cinq ans, trotte dans ma tête l’envie d’un tatouage. Un petit, un mignon, un discret. Pas un dinosaure sur le mollet droit, même si j’ai adoré Denver. Beaucoup d’amis se sont lancés : l’aiguille ? Même pas mal. Si je peux facilement éluder la question de la douleur dans mon esprit, j’ai davantage de mal à arrêter mon choix sur un motif. Pour m’inspirer, j’ai pris la direction de la convention de tatouage de Liancourt, qui avait lieu ce weekend dernier…
Catégorie : J’ai testé pour vous …
J’ai testé la dictée du Rotary 2.0 : l’orthographe, Charles Martel & moi
A l’école, aussi bizarre que cela puisse paraître, j’aimais bien les dictées. Le lent babillage de la maîtresse qui insistait sur les liaisons, les corrections en rouge, la réflexion autour de l’accord des verbes… Mais pour certains, c’était une torture. Une torture que le Rotary 2.0 a décidé d’infliger, samedi dernier, a une centaine de participants, tous volontaires : pour la deuxième fois, la toute nouvelle association compiégnoise organisait sa « Dictée ».
Sois une femme et bats-toi / J’ai testé le self-defense
Parce que j’ai envie d’être de ceux et celles qui trouvent la force de résister quand on les attaque physiquement (et en 2017, on sait bien que c’est courant et que cela peut arriver à n’importe qui), j’ai voulu tester les cours de self-defense (taijitsu et krav-maga). Merci au club Arts martiaux compiègnois qui m’a reçu chaleureusement. Non je n’ai pas trop souffert, à part un ou deux tâcles dans les tibias… Mais on s’en remet 🙂 Jugez plutôt.
J’ai participé à la Christmas Corrida des Picantines / Le running en hiver
Depuis la Compiègnoise, mon corps est prit de folie. Il aime courir, juste pour le plaisir de transpirer et de souffrir (un peu). J’ai enfin compris le sentiment de libération que chaque runner peut ressentir durant la course à pied, mais aussi le bien-être, à la limite de l’euphorie, qui s’empare du sportif à la fin d’un périple. Bref, à 31 ans il était définitivement temps de se bouger les cuissots.
Quand je participe à un atelier de cuisine vegan / Avec les Ateliers de Chrystel
« Tu penses qu’on va manger de l’herbe ou ce genre de trucs ? ». Regard apeuré dans l’assistance. Lorsque j’ai évoqué l’idée de tester un atelier de cuisine vegan avec Chrystel Raffin, des « Ateliers de Chrystel », j’ai bien senti que mes amies étaient dubitatives. Mais heureusement, très curieuses aussi…
Quand je teste l’atelier de cuisine Private Kitchen / Les Pipelettes en mode cuistos
Pour faire plaisir à l’une des Pipelettes & Confettis (le collectif est à découvrir ici !) qui fêtait son anniversaire, il fallait quelque chose de spécial : on n’a malheureusement pas trente ans tous les jours. Les ateliers de cuisine ont fleuri suite à l’effet Top Chef. A Choisy-au-Bac, les apprentis cordons bleus ont rendez-vous chez Alix de Lauzanne, qui a lancé son entreprise, Private Kitchen, en 2009. Cette grande gourmande accueille des petits groupes au sein de sa propre cuisine, elle travaille avec eux des recettes et leur distille ses trucs et astuces. Le rendez-vous est prit un samedi à 14h. Nous sommes huit amies, toutes venues découvrir les talents d’Alix. Je ne cuisine jamais, ou presque, ce qui ne manque pas de faire rire mon entourage…Je compte sur Alix pour déclencher l’envie de me mettre aux fourneaux.
Quand je rencontre la chorale de gospel de Moïse Melende / Whoopy sors de ce corps
Mon seul lien avec le gospel résidait dans ma passion, quand j’étais gamine, pour le film Sister Act. Whoopy Goldberg, en fausse bonne sœur déjantée, prend la tête de la chorale de l’église et transforme les cantiques classiques en flamboyants gospels (rappelez vous, çaaaaa ou encore celle-ci ❤ ). Il m’arrivait de chanter ces morceaux (mal, bien entendu), ma brosse à cheveux en guise de micro. Et puis j’ai grandi et j’ai arrêté de faire ces trucs bizarres (ou pas – vous n’en saurez rien). C’était sans compter sur Ol’Moses Gospel Choir, la chorale créée par le choriste Moïse Melende, à Choisy-au-Bac, en 2008. Après une pause de deux ans, l’ensemble s’est reformé il y a quelques semaines. Un jeudi soir, je me glisse au sein d’une répétition.
Quand je pars à Malaga faire du yoga / Et ça rime !
Cela devrait être obligatoire, voire remboursé par la Sécu : tout lâcher, quelques jours et partir, loin. Le retour est parfois un peu difficile. Pour ma part, je suis revenue de Malaga, après une semaine de yoga et de régime vegan pour retrouver les grèves, la grisaille et une macabre fusillade aux Etats-Unis. Je rêve d’un jour où tout ira bien, partout. En attendant, puisque la vie, le monde a décidé de ne pas tourner rond, préservons nous un peu, comme nous le pouvons.En avant pour l’opération Malayoga !
Quand je me balade dans les airs / Mon premier cours de pilotage d’ULM
« C’est comme la voiture, vous verrez : au début ça semble très compliqué et quand on finit par maitriser, on se dit que c’était finalement simple comme bonjour » m’explique au téléphone Patrick Cosnard, fondateur de l’école de pilotage d’ULM, Picardie R. Je suis dubitative. A 1000 mètres d’altitude, au commande d’un petit avion, et la tête en bas (qui sait ce qui peut arriver dans les airs…) je risque de moins faire la fière. Mais le challenge m’emballe. J’ai survécu à un saut en parachute, j’ai l’impression que je peux survivre à tout maintenant.
Quand je teste la vie de château / Aprem Golf à Monchy-Humières

Sympa la vue, non ?
Le golf, c’est pour Charles-Henri, qui a une grosse BMW, un petit col relevé et une houppette à la Tintin. Du moins, c’est ce que j’imaginais. N’ayant ni berline luxueuse ni été cooptée par un membre de la bourgeoisie locale, je ne pensais pas tenter un swing un jour. C’était sans compter sur le golf de Monchy-Humières. Sa nouvelle propriétaire, Laurence Lefèvre, et son acolyte, Grégory Anguille, ont décidé de démocratiser ce sport en proposant des initiations totalement gratuites le premier et dernier dimanche de chaque mois.