
Depuis cinq ans, trotte dans ma tête l’envie d’un tatouage. Un petit, un mignon, un discret. Pas un dinosaure sur le mollet droit, même si j’ai adoré Denver. Beaucoup d’amis se sont lancés : l’aiguille ? Même pas mal. Si je peux facilement éluder la question de la douleur dans mon esprit, j’ai davantage de mal à arrêter mon choix sur un motif. Pour m’inspirer, j’ai pris la direction de la convention de tatouage de Liancourt, qui avait lieu ce weekend dernier…

A l’école, aussi bizarre que cela puisse paraître, j’aimais bien les dictées. Le lent babillage de la maîtresse qui insistait sur les liaisons, les corrections en rouge, la réflexion autour de l’accord des verbes… Mais pour certains, c’était une torture. Une torture que le Rotary 2.0 a décidé d’infliger, samedi dernier, a une centaine de participants, tous volontaires : pour la deuxième fois, la toute nouvelle association compiégnoise organisait sa « Dictée ».


Pour faire plaisir à l’une des Pipelettes & Confettis (le collectif est à découvrir 


