Oui on a rencontré Guillaume Canet ! (je dis « on » car j’étais en bonne compagnie lors de cette interview) et oui j’adore définitivement mon boulot qui me permet, chaque jour, d’avoir son lot de surprises 😉 Voici l’article paru au sein des pages du Courrier Picard, le lundi 13 février.
Sois une femme et bats-toi / J’ai testé le self-defense
Parce que j’ai envie d’être de ceux et celles qui trouvent la force de résister quand on les attaque physiquement (et en 2017, on sait bien que c’est courant et que cela peut arriver à n’importe qui), j’ai voulu tester les cours de self-defense (taijitsu et krav-maga). Merci au club Arts martiaux compiègnois qui m’a reçu chaleureusement. Non je n’ai pas trop souffert, à part un ou deux tâcles dans les tibias… Mais on s’en remet 🙂 Jugez plutôt.
Trois jours dans le Véxin – On dîne autour de la piscine des Jardins d’Epicure
Pour profiter d’une semaine de vacances calée entre Noël et le Nouvel an, j’avais envie de changer d’air. Partir ok, mais pas trop loin, pour ne pas rentrer plus fatiguée qu’à la veille des vacances (je commence à en avoir marre de mes cernes de panda)… J’ai trouvé le cocon parfait ! En avant pour le Véxin 🙂
J’ai participé à la Christmas Corrida des Picantines / Le running en hiver
Depuis la Compiègnoise, mon corps est prit de folie. Il aime courir, juste pour le plaisir de transpirer et de souffrir (un peu). J’ai enfin compris le sentiment de libération que chaque runner peut ressentir durant la course à pied, mais aussi le bien-être, à la limite de l’euphorie, qui s’empare du sportif à la fin d’un périple. Bref, à 31 ans il était définitivement temps de se bouger les cuissots.
Wishlist de Noël – 100% Compiègnois
Le sapin est en place, les guirlandes lumineuses aussi, le calendrier de l’Avent bien entamé. Parce que trouver les cadeaux cool n’est pas une mince affaire, sélection de petites choses que j’ai vu dans les boutiques Compiègnoises et pour lesquelles j’ai eu un chouette coup de cœur ! En avant les Pères Noël 😉
Une initiation au braille avec Trans-doc
Ne plus voir les jolies couleurs du matin, la brume au-dessus de l’Oise, le soleil doré qui se lève tranquillement, le vert des arbres feuillus. Cela nous semble impossible voire intolérable. Pourtant, en France, on compte plus de 932 000 personnes malvoyantes et 207 000 aveugles, selon la Fédération des aveugles et amblyopes.
Pour autant, le malvoyant doit rester libre et apte à lire et à s’informer. C’est en tout cas le message que souhaite faire passer l’association Trans-doc, dont les locaux sont situés à Margny-lès-Compiègne. Hubert Ossart, lui-même malvoyant, en est le fondateur et le président. Son but : transcrire des documents en braille ou en audio, pour les personnes handicapées sensorielles.
Quand ma génération est accro à Tinder
Trouver un mec ou une nana semble la chose la plus simple au monde sur Tinder. On télécharge l’appli, on fait défiler les profils et avec un peu de chance, cela finit par « matcher ». Presque aussi facile que de s’acheter une nouvelle robe. Mais dans la réalité, les choses sont souvent bien plus complexes. Et heureusement.
Mais alors que nos parents et grands-parents se rencontraient dans la « vraie vie », Tinder semble le moyen plébiscité aujourd’hui, par nombre de 18-35 ans pour rencontrer quelqu’un. Juste pour un soir (souvent) ou pour un mois, voire plus avec un peu de chance, l’application a vu sa côte grimper en seulement 4 ans. Rencontre avec Manon, Zoé et Thomas, dont j’ai recueilli les témoignages.
Quand je découvre la rigologie au Théâtre à Moustaches
BIM ! Je viens de me prendre un ballon sur la tête. En face de moi, Blandine, hilare, sautille dans ses chaussettes blanches sur la scène du Théâtre à Moustaches. C’est elle qui vient de m’envoyer cette balle, en scandant mon prénom. Drôle de jeu ? Assurément, puisque je participe au premier atelier de rigologie.
Retour sur une matinée de grosse marrade. Oui carrément.
Quand j’aime (ou j’adore) courir / Mes 6 conseils pour débuter le running
Ma mère me dit souvent qu’elle a découvert les bienfaits du sport à 17 ans. J’ai toujours trouvé ça tôt. A 17 ans, je mangeais des burgers avec les potes et je testais les nouveaux bars à la mode. Autant dire que j’étais loin, très loin du running…
Quand je participe à un atelier de cuisine vegan / Avec les Ateliers de Chrystel
« Tu penses qu’on va manger de l’herbe ou ce genre de trucs ? ». Regard apeuré dans l’assistance. Lorsque j’ai évoqué l’idée de tester un atelier de cuisine vegan avec Chrystel Raffin, des « Ateliers de Chrystel », j’ai bien senti que mes amies étaient dubitatives. Mais heureusement, très curieuses aussi…