Joy, un conte résolument féministe / Une soirée au ciné

 

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Qu’est ce qu’on va voir au cinéma cette semaine ? Vu que j’ai oublié de quoi parle Star Wars (si si, c’est possible), je n’avais pas spécialement envie d’assister à deux heures de science-fiction à laquelle je n’allais rien comprendre, et encore moins les fameux clin d’œil dont le Réveil de la Force est apparemment truffé (je connais au moins le nom du film, c’est déjà pas mal). Alors exit Princesse Leïa et welcome Joy ! Lire la suite

J’ai testé pour vous… « Fêtes vos jeux » aux Minimes

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La dernière fois que j’ai joué à un jeu de société, je devais avoir 13 ans. C’était sans doute une partie de Cluedo, à laquelle j’ai lamentablement perdu. Il y a quelques années, certains de mes amis se sont pris de passion pour les jeux de plateaux : d’interminables parties durant lesquelles les uns tentent de voler des territoires aux autres, tout en passant des épreuves dans des mondes peuplés d’elfes aux grandes oreilles. Résultat : j’ai fini par boycotter ces soirées (mais j’ai gardé mes amis, tout de même).

Il était donc peu probable que l’exposition organisée par la municipalité de Compiègne à l’espace Saint-Pierre des Minimes, intitulée « Fêtes vos jeux », m’intéresse.

Mais j’aime les défis.

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Quand je me creuse la tête pour Noël / Petite liste pour désespéré(e)s en manque d’idées

Les fêtes de Noël approchent, le feu dans la cheminée, le sapin et ses jolies guirlandes, Love Actually ou le Père Noël est une ordure à la télé (on n’y coupera pas !), et le chat qui saute sur la dinde.

Cette année, et comme toutes les années, c’est un vrai casse-tête de trouver LE cadeau qui fera plaisir à la cousine, la ou le chéri(e), ou même à ses parents. Pour ma part, je n’ai pas encore trouvé un cadeau pour tous ceux que j’aime, mais j’ai opéré une sélection de petites choses bien chouettes que j’ai croisé à Compiègne & sur le web. On ne sait jamais, cela peut vous donner des idées.

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Quand je traîne du côté de Toulouse / Mes petites adresses

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La Collégiale Saint-Salvi et son cloître

Vous connaissez Toulouse, la fameuse ville rose, ou encore Albi et sa cathédrale impressionnante, situées à seulement 1h10 de vol au départ de Paris ? Pour ma part, je n’y avais jamais mis les pieds. Et c’était un tort ! Car non seulement j’en ai pris plein la vue, mais j’ai aussi assez mangé pour les 15 jours qui suivent. Retour en images sur deux jours sous le soleil du Tarn. 

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Quand je prends des douches de bière / Une soirée au gala de l’UTC

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Merci le chéri assistant photo – Non, ceci n’est pas mon bras 🙂

Il m’arrive parfois de retrouver avec grand plaisir mon esprit d’étudiante qui se fiche pas mal de la gueule de bois du lendemain. En cela, je peux dire merci à mes amis de l’Université de Technologie de Compiègne, qui m’ont invité, ce weekend, à la remise de diplômes des Master et à la soirée de gala qui suivait. Entre petits fours et douche de bière, récit de ma folle journée. 

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Quand je bois des verres avec les copains, un vendredi soir, à Paris

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Dès que je pose un pied sur un trottoir parisien, je râle. Ses embouteillages, ses thés à six balles en terrasse, ses nanas toutes jolies et sûrement plus intéressantes que moi, ses mecs qui portent tous la même barbichette de hipster, son métro où les gens ne sourient pas beaucoup, ses loyers renversants, tout ça m’agace. Je râle souvent, mais j’y viens tout aussi souvent. Ma mère m’y a emmené très jeune, pour découvrir ce que la France a de plus beau : son patrimoine, ses monuments, sa culture libre et hétéroclite. On trouve ça normal quand on baigne dedans, on ne fait même plus attention aux pieds de géant de la Tour Eiffel. Mais regarde tout ce qui t’entoure, regarde comme nous sommes riches de tout cela…

Vendredi soir, nous fêtions l’anniversaire d’une amie dans un bar. Trente ans, ça se célèbre, et en fanfare. Un chouette endroit, avec une terrasse bondée, des parasols chauffants pour rester plus tard encore attablés tous ensemble, à fumer des clopes en parlant des derniers bouquins lus. Mon amie Delphine ne devait pas venir à cette soirée, pas très envie de sortir, un peu patraque, un peu triste. Coups de fil, textos. Ramène-toi, on a envie de te voir. Allez, je viens, ça ne me fera pas forcément du bien, mais je viens. Joie, allégresse, Apérol Spritz.

Nous étions dans Paris, nous étions nombreux mais nous allons tous bien, inutile de jouer la carte du suspens malvenu. Nous étions loin, et si près à la fois de tous ces gens qui nous ont quittés en un éclair de feu. Quand les smartphones ont vibré, annonçant les tirs dans le 11e, on s’est regardées avec Delphine et puis on a fait la moue. Ouais, un règlement de compte, ça va, c’est pas ça qui allait nous empêcher de faire la fête. Quand notre voisine de table s’est penchée vers moi, pour me montrer que la station de métro où les faits se déroulaient était à côté, je me suis contentée de sourire. Un peu niaisement même. On venait de se dire avec Delphine qu’on était vendredi 13 mais aussi le jour de la gentillesse, alors fallait pas déconner.

Le reste, c’est une soirée que de nombreux Parisiens ont vécu. Une soirée à première vue banale dans un bar, où ça picole, ça joue au baby-foot, ça s’embrasse. J’en ai même surpris deux dans les toilettes, que j’ai arrêté avant qu’ils ne s’envoient en l’air, parce que quand même, j’avais envie de faire pipi moi. La seule différence avec une soirée normale c’est qu’on est restés enfermés toute la nuit, derrière deux rideaux de fer, et qu’on sursautait des qu’un sombre crétin avait l’idée de vouloir sortir à tout prix prendre l’air (et tant pis pour les mecs subtils et amoureux du style de vie à la française qui se baladaient avec une Kalach’). L’autre différence, c’est que dehors des gens mourraient, des jeunes comme nous qui avaient eu l’indécence extrême de boire un coup à la terrasse d’un café. Les mêmes que nous, les mêmes sourires, les mêmes goûts peut-être. Jeunes, cons, arrogants, Parisiens, marrants, insolents, avec des barbes de hipster ou sans. Qu’importe.

L’un des derniers messages que j’ai envoyé à mon chéri avant de ne plus avoir de batterie c’est que je détestais cette ville à la con. Vaste blague. En fait, je l’aime bien, et je vais devoir apprendre à le dire parce que moi aussi je suis une immonde fornicatrice qui ose boire des verres en terrasse, porter des robes courtes et embrasser à pleine bouche mon cher et tendre.

Aujourd’hui Paris, même si je n’aime toujours pas tes loyers à 1200€ pour 30 misérables mètres carrés, je t’aime fort. Alors prend soin de toi.

Quand je pars en Colombie sans bouger de Compiègne / Rencontre avec la créatrice Luz

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Je continue mon petit tour des créatrices bien inspirées de Compiègne. Je prends mon temps, je flâne un peu … Mais depuis que j’ai un serre-tête trop cool, qui me permet d’assumer pleinement mon côté fillette de 10 ans cachée dans le corps d’une toute nouvelle trentenaire, j’ai très envie d’écrire sur Luz. Cette maman bien occupée fabrique toutes sortes de merveilles, directement sorties de son imaginaire. Rencontre avec une femme inspirée et inspirante. 

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Quand je passe 6h30 dans une salle de cinéma/Retour sur le marathon Back to the futur

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A l’occasion de l’arrivée dans le futur de Doc et Marty, le cinéma Majestic passait l’intégralité de la trilogie Retour vers le Futur. Un véritable marathon auquel j’ai participé (une fan comme moi ne peut pas manquer ça !).

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Quand je marche avec les Picantines / Retour sur la Compiègnoise du 4 octobre

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Enfiler un leggings un peu moche, des chaussures de course bleu pétant et un sweat à capuche qui a connu de meilleurs jours pour aller batifoler dans les parcs de la ville n’est pas forcément mon plan rêvé pour un dimanche matin. Mais là, il ne fallait pas mégoter et donner un peu de sa personne car la cause était noble  en ce mois d’octobre tout rose : la lutte contre le cancer. Retour sur ma première participation à la course des Picantines, la Compiègnoise.

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Quand Pause Tartines devient Madame Calepin

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Pause Tartines change.

L’idée, assurément jolie, n’est pas de moi mais d’Estampapier, qui m’a surnommé Madame Calepin, un soir où, justement, je l’avais oublié ce fameux calepin. Et pourtant, impossible de sortir sans lui habituellement. Je note ce que je vois dans le train, le comportement des gens, les couleurs des arbres, les histoires qu’on me raconte. Les détails inutiles.

Ça fait rire les copines. Mais ce petit surnom en fait, c’est tout moi. Alors j’ai décidé de changer le nom de mon blog, qui est tout de même une partie de ce que je suis, de mes aventures et de mon gout prononcé pour la vie des autres. Et puis je ne vous parlerai jamais de tartines, même si j’en mange des tas. Par contre des calepins, qu’est ce que j’en use !

Alors voilà, Pause tartines devient Madame Calepin, parce que cela correspond bien aux mille projets que nous avons en tête, avec les autres blogueuses Compiègnoises. Il va falloir nous suivre d’ailleurs, ça risque d’être intéressant  !

 

**Certains éléments du blog sont en cours de modification**