Vous connaissez Toulouse, la fameuse ville rose, ou encore Albi et sa cathédrale impressionnante, situées à seulement 1h10 de vol au départ de Paris ? Pour ma part, je n’y avais jamais mis les pieds. Et c’était un tort ! Car non seulement j’en ai pris plein la vue, mais j’ai aussi assez mangé pour les 15 jours qui suivent. Retour en images sur deux jours sous le soleil du Tarn.
Début de ce weekend de découvertes : Albi. Une ville absolument charmante avec sa brique rose (la même qu’à Toulouse, vous ne serez pas depaysé/e), sa cathédrale, dont l’intérieur surtout m’a époustouflé, et son cloître, petite pépite de verdure au milieu de l’agitation citadine.
Au cœur de cette balade, un arrêt par le musée Toulouse-Lautrec s’impose. Principalement consacré aux œuvres du peintre natif d’Albi, le musée est installé dans le Palais de la Berbie, juste à côté de la cathédrale. Pour 5 euros, nous avons choisi de profiter de l’exposition temporaire, « Marilyn – La dernière séance ». Depuis le 26 septembre, et jusqu’au 3 janvier, le musée accueille les photographies de Bert Stern, figure emblématique de la photo de portraits du XXe siècle. Il a ainsi fixé l’image de stars d’une certaine Amérique, comme Liz Taylor, Marlon Brando, Audrey Hepburn, mais a magnifié aussi des vedettes françaises comme Brigitte Bardot et Catherine Deneuve. Les œuvres de Stern exposées à Albi représentent Marilyn Monroe seulement 6 semaines avant sa mort. Sur place, on découvre une star au naturel, pratqieuement sans artifices, espiègle et beaucoup moins voluptueuse que je ne l’imaginais. Une femme de 36 ans sublime avec une profonde cicatrice qui lui barre l’abdomen. Presque normale en fait (rassurant non ?).
Le lendemain, nous partons en directions de Toulouse. Sur le chemin, petit arrêt au Bassin de Saint-Ferreol, un peu perdu dans la pampa et baigné de lumière. En été, les bars et restaurants qui le bordent sont ouverts et en font une station balnéaire agréable pour les touristes. Mais pas en décembre ! Alors direction Toulouse pour déguster de bons petits plats.
Et bim ! C’est là que le cassoulet débarque. Et autant dire qu’il se laisse déguster bien facilement… Petite pause chez Huguette, place Wilson, un café-cantine hyper accueillant qui sert des plats typiquement toulousains (et parfois un peu « revisités », comme diraient les mecs de Top Chef) toute la journée ! Et ça c’est parfait si, comme nous, vous aimez bien déjeuner à 16 heures. Pour ma part j’ai testé le wok d’émincés de canard (délicieux) et mon cher & tendre a goûté le « petit » cassoulet toulousain, qui n’a de petit que le nom. On peut dire que William Saurin se moque un peu de nous… car le cassoulet de chez Huguette n’a vraiment (mais alors vraiment) rien à voir avec celui en conserve !
La suite des bonnes adresses toulousaines et albigeoises, c’est dans deux semaines, pour le plus grand bonheur de mon estomac 😉