D’abord, il y a eu la petite folie des étoiles piquantes dans le creux du poignet, puis les animaux origamis – un renard duveteux ou une baleine qui me fait salement pleurer. Et puis, les petits cœurs tous nus et les nuages mouillés. Enfin, il y a eu les mots de The Crayoner déposés ça et là, sur des corps bienheureux.