A l’école, aussi bizarre que cela puisse paraître, j’aimais bien les dictées. Le lent babillage de la maîtresse qui insistait sur les liaisons, les corrections en rouge, la réflexion autour de l’accord des verbes… Mais pour certains, c’était une torture. Une torture que le Rotary 2.0 a décidé d’infliger, samedi dernier, a une centaine de participants, tous volontaires : pour la deuxième fois, la toute nouvelle association compiégnoise organisait sa « Dictée ».