Les vacances, c’est cool, mais lorsqu’on passe une semaine en convalescence et qu’on vient d’acheter une maison (canon), les grands voyages on oublie. C’est ce qui s’est passé pour nous, cet été : on a préféré mettre notre budget en fauteuils des années 1960 et en coups de bistouri, chacun son truc. Résultat, j’ai des yeux tout neufs et une maison que j’adore. Mais prendre le large, c’est bien aussi, même si ce n’est pas très loin.